« non, parce que la première, t'étais de dos. »

 bonne réponse.

« toujours ! »

il caressa du bout des doigts sa joue. c'est bien ce que je disais, t'es parfaite.

tu rougis un peu, car toi qui est si perfectionniste, ce compliment te touche. tu approches de nouveau tes lèvres des siennes pour les poser tendrement dessus.

il garda une main posée sur sa taille et passa l'autre sous le t-shirt de la blonde, très doux dans tous ses mouvements.

tu frissonnes en sentant sa main sur ton ventre, mais tu es étonnée par la douceur de ces gestes. Tu passes une main dans sa nuque, remontant à ses cheveux bruns, l'embrassant doucement.

sa main bifurqua vers son dos, si lisse lui aussi. il remonte jusqu'à son soutien-gorge et lui lance un regard, ne sachant pas si elle voulait aller plus loin.

en sentant sa main remonter à ce niveau-là, tu te crispes un peu et le regardes. « si c'est ce que tu veux, ça ne me dérange pas. à condition que tu me promettes que ça soit sérieux. »

sentant son malaise, il retira prestement sa main.  oui, je te le promets. pour toi aussi c'est du sérieux, n'est ce pas ?

tu le regardes droit dans les yeux un moment. « bien sûr, oui. »

il hocha simplement la tête et recommenca là où il s'en était arrêté.

tu frissonnes et glisses à ton tour tes mains sous son t-shirt, caressant son torse musclé.

bah oui, c'est un dieu notre peter. il en profita pour dégrafer son soutien gorge.

tu t'en débarrasses alors, le jetant derrière-toi avant de prendre d'assaut ses lèvres.

pendu à ses lèvres, il réussit malgré tout à enlever son propre t-shirt.

tu laisses alors courir tes mains sur son corps chaud, dérivant tes baisers vers son cou.

il frissonne et descend tendrement ses mains vers le short de la belle blonde.

pour lui faciliter la tâche, tu t'en débarrasses toute seule, croisant son regard.

il s'occupe alors de lui et se retrouva en deux tant trois mouvements aussi déshabillé qu'elle.

tu le regardes droit dans les yeux et attire son visage vers le sien, te laissant tomber dans les coquelicots.

il ne lacha plus la blonde du regard, le soutenant pendant qu'il se dégageait des derniers bouts de tissus qui les séparaient.

tu sens alors son corps contre le tien et frémis, plantant son regard dans le sien.