| Nom ~ Livington Prénom(s) ~ Valentino, Edwin Âge ~ 17 ans Pays d'origine ~ Los Angeles Avatar utilisé ~ T.Mills |
En profondeur.______________________________
Caractère ~
«
Ashley, tu es la fille la plus formidable et drôle que je n'ai jamais rencontré. »
«
Tu veux juste me baiser. »
«
Et intelligente en plus ! »
Ce court dialogue pourrait bien résumer le caractère de Valentino. En plus d'être infidèle et joueur, ce beau gosse est en plus imprévisible, drôle, insensible aux sentiments. Rien que ça, vous allez me dire. Mais attendez, il est aussi narcissique, supérieur et parfois manipulateur. Et.. je crois que c'est tout
Défauts ~ Infidèle, narcissique, parfois manipulateur, vanneur.
Qualités ~ Agréable, drôle, généreux, à l'écoute (quand il a le temps
)
Phobies/Peurs ~ La peur de mourrir.
Manie(s) ~ Glisser quelques mots anglais dans ses phrases, toujours toucher à ses cheveux.
Histoire ~
Les rues de Los Angeles n'ont jamais eu de secrets pour lui. Elevé là-bas depuis tout petit, c'est dans une famille moyenne et quelque peu banale que Valentino a vu le jour. Son nom prouve bien ses origines italiennes. En effet, il est né d'un père américain et d'une mère italienne. Aîné de deux jeunes frères, c'est dès son plus jeune âge qu'il a été habitué à prendre soin d'eux. Un peu contre son gré. Non, pas qu'il n'en avait pas envie. Mais quand vous avez huit ans, et que vous demandez à aller jouer dehors avec vos copains, que votre mère vous répond un "Non Valentino, je dois aller faire une course, reste garder ton frère", cela vous prend bien vite la tête. Néanmoins, à force d'être poussé par ses parents, il a toujours été l'élève modèle, brillant étudiant. Vous savez, cet étudiant là, qu'on connaît tous quelque part. Celui, décontracté et populaire, qui connait tout le monde et que tout le monde connait, et qui, malgré le nombre d'amis et de soirées qu'il a, reste toujours le premier sur le classement de la classe ? Eh bien, c'est lui. Chance ou hasard, personne ne le sait, mais il se plait à dire qu'il est seul maître de son sort et que tout ce qu'il lui est arrivé n'a été que le fruit de sa détermination.
A la sortie de l'enseignement secondaire, il entre dans un grand campus, ne quittant pas sa ville natale. Celui-là aussi, vous le connaissez. Du moins, peut-être l'avez-vous déjà vu dans un film. Le campus américain par excellence. Immense, des milliers d'élèves qui vont et qui viennent, une allure à la fois modeste et stylisée... Mais Valentino n'allait en cours que pour satisfaire les attentes dérisoires de ses parents : finir ses études était plus qu'un but mais un rêve de liberté. Il avait l'impression d'avoir passé son enfance enchaîné. Et c'est la nuit que le jeune homme se révélait entièrement. Le campus était très peu surveillé. Très réputé pourtant pour l'éducation qui y était portée, personne ne se doutait que la nuit, c'est comme si le monde se renversait. Soirées sans limites, débordements, open bar, et drogue qui circulait plus facilement que le journal de la ville. Valentino adorait se prouver qu'il était irrésistible. Que personne ne pouvait lui résister, et il fut bien rare qu'après une soirée, il rentre seul. Les filles défilaient, mais il ne ressentait aucun besoin de s'attacher, de se poser. Vivre dans cette effervescence, au début, le comblait. Depuis petit, on l'avait privé de jeux. Maintenant, c'est ce qu'il voulait : s'amuser.
C'est là qu'il croisa le chemin de Madeline, une jeune londonienne récemment arrivée. Une jeune étudiante dans la même section que lui. Une jeune étudiante au caractère enflammé, solitaire et indépendante. Inaccessible. C'est ce qui a toujours plus à notre Don Juan qui se mit alors dans l'idée de la séduire. Un jour alors, avec son habituel charisme et sourire ravageur, il se présenta à elle, pendant un cours qu'il partageait, se mettant à côté d'elle. Mais quelle ne fut pas sa frustration de voir qu'elle ne cilla même pas. Elle l'observa avec cette indifférence troublante. Plutôt que de le mettre hors de lui, cela l'encouragea. Il tenta tout. La voix charmeuse, le regard profond dont il avait le secret, le sourire craquant. Mais rien n'y faisait. Madeline restait indifférente à son charme, l'appréciant simplement comme un camarade de classe.
Et la routine continuait. Il devint connu de tous. Les filles lui couraient après, le prenaient en photo. Avoir un mot de lui devint quelque chose qui se murmurait dans les couloirs. Loin d'être méchant, il commençait néanmoins à se lasser de tout ça. Car tout était facile. Tout était bien trop facile, justement. A peine un sourire et n'importe quelle fille se laissait emmener dans son lit sans rechigner. Cela n'avait plus aucun but. Plus aucune motivation. Plus rien.
Si. Madeline.
Elle lui résistait toujours, fière de passer devant lui la tête haute. Néanmoins, elle commençait à flancher, avec tous les efforts du jeune homme, qui se révéla soudain même un côté quelque peu romantique. Venant chez elle avec un bouquet de fleurs pour la séduire, l'emmenant se promener au clair de lune. Ce soir-là d'ailleurs, elle se tourna vers lui et l'embrassa. Elle le regarda, planta son regard bleu dans le sien, et tourna les talons, disparaissant dans la nuit.
Lui, il n'y croyait pas. Hagard, il traîna dans la rue jusqu'à l'aube où il vint devant chez elle, attendant qu'elle le voie. Au matin, elle le fit donc rentrer, ébahie. Et touchée. Il était fier de commencer à réussir et percevait déjà des failles dans les défenses de Madeline. Elle cédait. Oui, elle lui cédait. Il se sentait jubiler. Alors, l'atmosphère monta d'un cran et la jeune étudiante, ayant capitulée, s'abandonna dans son étreinte. Après avoir eu ce qu'il voulait, Valentino se tourna vers elle, le visage triomphant.
- Bon eh bien, je vais y aller. Maintenant que j'ai gagné...
Elle se redressa et la colère envahit ses yeux bleus.
- Quoi ? Ce n'était qu'un jeu ? Une de tes conquêtes, une de plus ?
- Ben..
- Je te pensais différent. Je me suis trompée. Va t'en.
- Non, Madeline, attends, je...
- J'ai dis VA T'EN !
Il fut contraint de partir, donc. Conscient de l'avoir blessé, il rentra de nouveau dans cette tornade qui commençait à l'user.
A la sortie de son examen, il multiplia les nombreux boulots. Serveur dans un café, assistant d'un boulanger, réceptionniste dans un hôtel. Re serveur... Mais sa personnalité frivole et pas assez sérieuse rendait toujours ses patrons sans aucune autre solution que de le virer. Et il continuait. Toujours la même vie. Les mêmes visages, alors qu'ils changeaient pourtant chaque soir. Un coup celle qu'il ramenait était blonde, un coup brune. Française parfois, ou bien Italienne comme lui. La drogue le rendait parfois agressif, et quand il commença à se sentir dépendant de l'alcool et de la drogue, il comprit qu'il était allé trop loin. Que s'amuser était devenu subir et qu'il ne voulait plus rien de tout cela. Mais comment dire stop d'un seul coup ? Pouvait-il faire marche arrière ?
"Je te pensais différent", lui avait dit Madeline avant de le mettre à la porte. Différent comment ? Comment faire pour changer, maintenant ? Comment se libérer d'une liberté qui avait fini par l'emprisonner ? Une délicieuse liberté, vile et trompeuse, qui vous enchaîne au mur sans prévenir. Il était tombé dans le piège.
Pris de court, il monta dans le premier bateau qui partait pour une croisière. Manque de bol pour lui, c'était le Queen Mary II. Désireux de se changer les idées, il pensait qu'une simple croisière pouvait l'aider. Mais c'est bien connu.
Les gens ne changent pas.
Merveilleuse histoire de Chinook Physique ~ Valentino mesure 1m75, pour une corpulence assez faible pour cette taille. Ses cheveux sont noirs, ses yeux noisettes. Il possède pas mal de tatouages et des écarteurs, ces derniers causant parfois sa réputation de 'bizzare'. Est-ce bizzare d'exprimer sa personnalité ? A ce jour, non.
De l'autre côté.______________________________
Puf ~ Juliye.
Âge ~ 14 yo.
Comment as-tu connu le forum ~
Qu'en penses-tu ~
:gwa:
Un dernier mot pour la fin ~ Je vous aime