JIMMY D. ROTTEN

« i don't wanna be a junkie for the rest of my life.
wait, i don't wanna be a junkie at all. »

En surface.

NOM : Né Randall, désormais Rotten. PRÉNOM(S) : " Jimmy " Damon. ÂGE : Dix-huit ans. PAYS D'ORIGINE : Angleterre. AVATAR UTILISÉ : Sid Vicious.

En profondeur.

CARACTÈRE : Tous ces professeurs qui tentent de les cultiver demeurent impuissant face à la connerie qu'ils peuvent se permettre, eux, les jeunes adolescents punks de la génération no future. Jimmy est l'un d'eux. Vous savez, le jeune bien crade et violent qui n'a rien à perdre, tellement rien qu'il se permet de revêtir un t-shirt décoré d'une croix gammée. Pourtant, il est sympa si vous savez l'aborder de la bonne façon, il porte bonne compagnie. Mais pour les autres c'est un pourri, ils le détèstent, mais ça l'amuse. Il est unique, lui.
DÉFAUTS : Imprévisible, violent, drogué, masochiste etc ..
QUALITÉS : En un mot, il est cool.
PHOBIES/PEURS : De vieillir. Il veux mourir jeune.
MANIE(S) : Il fait souvent une espèce de moue étrange.

HISTOIRE : Le jeune homme est né dans la banlieue de Londres, sous le nom de Damon Randall. Sa mère était dealeuse la nuit, serveuse le jour, tandis que son père était chauffeur de taxi. La petite famille vivait dans un studio bordélique, les murs jaunit par la fumée de cigarette, cachés par des posters en tout genre. Notamment un énorme drapeau anglais, car en effet, les Randall étaient fiers de leur pays. Non, je plaisante. Entre la famille royale, la superficialité et l'hypocrisie de leur premier ministre, il y avait des villes sordides grouillantes de " gangs ". Skinheads, néo-nazis, punks, gothiques, il y avait le choix. Mais ils s'en fichent, ils n'ont pas grand chose à perdre. Deux mois après la naissance de Damon, son père violenta sa femme pour une histoire de drogue, la quittant par la suite. Détruite, la jeune femme perdit tout amour en son fils, le traînant comme un boulet, il ressemblait trop à son père. Les années passèrent sans qu'elle ne lui fasse aucune critique, jusqu'à ses huit ans où elle l'abandonna dans la rue, sans raison. L'enfant ne comprenait pas ce qu'il se passait, mais ne pleurait pas pour autant, pas comme les autres de son âge. Il fut moqué des jeunes, on lui crachait dessus, l'insultait et lui soufflaient de la fumée sur le visage. Il commençait à penser que c'était normal, mais les années passèrent et il fut bientôt connu de tous. On l’appelait le pourri, Rotten, en anglais. C'est alors qu'un jour, des skinheads s'attaquèrent plus sérieusement à lui. Il avait douze ans et entrait tout juste dans l'adolescence. Prétendant qu'il devenait grand et devait savoir se défendre, ils le firent tomber et le tapèrent de leurs bottes à clous et éperons pendant qu'il tentait tant bien que mal de se protéger le visage. Mais un groupe de punks passait par là. Ils ne pouvaient pas rater le vacarme d'insultes, et décidèrent de s'approcher. « Eh, il vous a fait quoi ce gamin ? » Dit l'un d'eux, calmement, sans aucun signe d'agressivité. « On lui apprends à vivre en banlieue. » Ce n'était pas une assez bonne raison, le punk prit un air menaçant. « Vous êtes durs, laissez-nous s'occuper de lui. » Proposa-t-il. Ayant comprit le mauvais sens de cette phrase, ils le relevèrent brutalement, le poussant vers eux. Damon, fronçant les sourcils, lança un regard méprisant par-dessus son épaule avant de cracher, continuant de les regarder. De légers rires de fierté se fit entendre chez les punks, qui le prirent sous leurs bras, ébouriffant sa touffe de cheveux noirs. Il grandit sous ce style de vie, devenant comme leur protégé. Au fil des années, son caractère se révéla violent et imprévisible. Le jour de ses 17 ans, il emménage dans un taudis avec un certain Simon, petit roux aux taches de rousseur, qui le surnommeras rapidement Jimmy Rotten. Souvenez-vous, il était déjà habitué au nom de Rotten, mais pourquoi Jimmy ? Il s'en foutait, l'important c'était que ça sonne bien.

Jusqu'à ses 18 ans, sa relation avec lui était plus de la complicité que de l'amitié. Mais un 12 octobre, la copine de Simon, une jeune junkie américaine, est retrouvée poignardée dans une chambre d'hôtel. Simon et Jimmy sont alors les premiers accusés, mais le soir même, son ami adopta un comportement bizarre. Il cassait tout ce qu'il trouvait, se griffait la figure, mais ses yeux éprouvait de la tristesse. Il s'assit alors par terre, se cachant la tête derrière ses genoux, se balançant d'avant en arrière. Jimmy se posait des question, et lui en demanda une, résumant tout. « .. C'est toi ? » Dit-il, ayant assez confiance pour se persuader qu'il ne le blesserais pas. « Oui. Je me dénoncerais demain. » Le rouquin n'en dit pas plus, de toute façon Rotten ne voulait plus rien savoir, ce n'était pas son problème. Preuve qu'ils n'étaient pas amis, ils n'avaient aucun sentiment de compassion l'un envers l'autre. Le lendemain matin, Damon décida de s'en aller aux États-Unis, par bateau. C'était le Queen Mary II.
PHYSIQUE : Mince et de grande taille, cela lui donne une posture et une démarche complètement différente des autres. En effet, il paraît toujours pressé, le pas lourd, comme s'il martelait le sol, sans aucune élégance. Il se tient tout recroquevillé, bossu, laissant tomber ses épaules en avant. Mais du haut de ses 1m78, il y a une tête étrange. Un visage négligé. Ses yeux sont vacants de toute expression, quelque soit ce que vous lui dites. Fatigués, ternes dès la naissance, on ne se demande même pas de quelle couleur ils sont. Jimmy a la manie de grimacer pour un rien, la lèvre supérieure relevée sur le côté. C'est difficile de décrire cette chose, regardez plutôt. Il possède une épaisse touffe de cheveux bruns ébouriffés, une raie dessinée au plein milieu du crâne. En parlant d'os, ils sont assez voyants chez lui. L'héroïne l'a rendu maigre jusqu'au visage, sans pour autant terroriser les passants. Le cou fin, il est entouré d'une chaîne refermée par un véritable cadenas, la clef disparue.

De l'autre côté.

PUF : Tanelia.
ÂGE : 12 ans.
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM : Je suis une ancienne \o/
QU'EN PENSES-TU : C'est la classe absolue.
UN DERNIER MOT POUR LA FIN : Il me reste le physique et j'aurais fini (:


codage © tanelia.