| Nom : Maréchal Prénom(s) : Léandre Sergio Âge : 25 yo Pays d'origine : France Avatar utilisé : Matt Sexy Lanter |
En profondeur.______________________________
Caractère :
On m'a souvent dit que j'étais un mec ... compliqué. Que si je suis un super copain, toujours prêt à aider les autres et à tendre la main au premier venu, je peux aussi être un gros chiant qui psycotera pour un truc insignifiant. Et il faut bien l'avouer, j'ai le don de me mettre la tête en vrac pour un rien. Et ça peut me pousser plutôt loin. Car même si j'ai l'air d'être un gros nounours tout gentil et adorable (ce que je suis quand même un peu), je suis aussi quelqu'un de très colérique, qui supporte mal qu'on le contredise ou que l'on ne fasse pas comme moi j'avais décidé. J'aime avoir raison et j'ai du mal à avouer que j'ai tort. La plupart du temps, je suis d'une mauvaise foi à toute épreuve. Quand je décide quelque chose, impossible de me faire changer d'idée. Et puis l'esprit de contradiction, j'adore ça. En fait c'est quelque chose d'hyper ancré chez moi, impossible de changer ça :). Ce n'est pas pour rien que je me suis engagé dans l'armée. Je ne savais pas du tout quoi faire de ma vie et mon père, cette immondice, était ouvert à tout sauf à l'armée. Le choix fut alors vite fait. Débile direz vous, incapable de prendre ses responsabilités ou de faire ses propres choix ? Pas tout à fait. Ok je met parfois du temps à me décider mais j'assume toujours mes responsabilités. Toujours. Je suis quelqu'un d'honneur. Tout du moins j'aime à le penser. Ou plutôt, j'ai besoin de le penser. Besoin de croire que je suis tout sauf idem à mon père. Quelqu'un de totalement différent de lui.
J'ai des grands principes et des valeurs auxquels je tiens particulièrement. Le respect des autres et la famille sont les plus importantes. Je ferais tout pour ceux que j'aime. En particulier mon fils, ma soeur et mon frère. Etant l'aîné avec une mère décédée à mes huit ans et un père poivrot, j'ai vite appris que la viie n'était pas rose. Et j'ai toujours tout fait pour éviter qu'elle ne saute au visage de mon frère et ma soeur. Je les ai protégé. Tant verbalement et mentalement que physiquement. Depuis petit je fais de la boxe et du rugby. J'ai un besoin chronique de bouger. Hyperactivité qu'on appelle ça. Et ça m'a toujours bien servit. Pour aller mettre un coup de poing en plein dans la tête de Henri en CM2 lorsque celui-ci faisaiit chié mon frère ou pour aller casser la tronche d'un mec foireux qui suivait ma soeur. Je ne suis pourtant pas violent. Enfin ... tant qu'on ne touche pas à mes proches. Là je passe en mode taureau de corrida et je deviens fou. Je vois littéralement rouge et je fonce tête baissée en oubliant parfois de réfléchir. C'est un peu à cause de cela qu'on m'a un jour appelé au bureau du Sergent. Pour me dire que si j'envisageais sérieusement de faire carrière dans l'armée, malgré mon immense respect pour la hiérarchie, il fallait que je calme mes ardeurs. Car des mises à pieds ne faisaient pas vraiment bonne figure dans le dossier d'un officier plus gradé. Etant Caporal, on me demandait aussi de montrer l'exemple (et casser le nez d'un autre Cap parce qu'il faisait du gringue à l'une de mes soldat n'était pas forcément un super exemple d'après eux).
Il faut l'avouer, j'ai évolué depuis que je suis à l'armée. Je me suis encore plus assagi et j'ai compris qu'il fallait profiter de la vie. Ce que je fais toujours à fond. Je suis tellement loin du gars de dix-neuf ans toujours en colère qui a un instant songé à fuir ou à tuer son ex pour éviter de se retrouver avec un gamin sur les bras. Surtout que mon fils c'est ce que j'ai de plus cher au monde. C'est la chair de ma chair. J'ai du me battre pour récupérer sa garde mais maintenant que c'est fait, je travaille de plus en plus dur pour lui offrir à lui et à ma soeur et sa fille qui vive chez moi, ce qu'il y a de meilleur. La plupart de mes collègue me disent généreux. Moi je crois simplement que je sais trop bien que la vie peut vous mettre KO en un instant. Une seconde suffit. Une bonne idée peut devenir votre pire cauchemars. Lorsque vous me cherchez, sachez que je serais certainement dans un coin à bricoler deux trois trucs. La seule chose que j'ai prise à mon père.
Défauts : Colérique - Parfois violent - Têtu - Borné - Exigeant - Indépendant - Dominateur - Hyperactif - Souvent chiant ou saoulant - Psycote pour un rien - Plein de mauvaise foi - Compliqué - Insuportable
Qualités : Tendre - Protecteur - Ouvert - Nounours - Responsable - Fiable - Franc - Respectueux de la hiérarchie - Serviable - Gentil - Droit - A des valeurs
Phobies/Peurs : Perdre mon fils. C'est ma plus grande phobie. Sinon avec l'armée il n'y a rien dont j'ai vraiment peur. Outre le fait de mourir en laissant ma soeur, ma nièce et mon fils sans rien. Ce serait affreux. Tout simplement démentiel. J'ai aussi terriblement peur de devenir comme mon père. D'être un sale type.
Manie(s) : Je ne quitte jamais ma chaine de baptême. Ce n'est pas tant que je crois en dieu (j'ai compris depuis longtemps qu'un type tout seul ne pouvait pas se mettre en travers de la route de mon père et nous protéger) mais plutôt que c'est un cadeau de ma mère. Et à cette chaine, outre le pendentif de St Marie, j'ai aussi un médaillon dans lequel il y a quelques mèches de mon fils, d'Eliott. Ce sont mes deux biens les plus précieux. Et dès que je suis gêné ou que je suis indécis, je les tripote. Ca me calme. Sinon, j'éternue lorsque je sens quelque chose de mauvais. Et je fronce les sourcils lorsque je réfléchis.
Histoire Je suis né non loin de Paris. Mais pas dans les beaux quartiers. Pas avec un père ouvrier et une mère femme au foyer qui faisait quelques ménage pour mettre des épinards dans l'assiette (la crème n'était pas envisageable avec notre budget). Nous sommes resté dans notre petit appartement 3 ans de plus. Le temps pour ma mère de me donner un frère, Lucas et une soeur, Océane. La vie était dure mais avec une fratrie soudée comme la notre, j'avais l'impression que tout pourrait aller. Que la misère passerai et qu'un jour, on verait le soleil. Et pour voir du soleil, on en a vu : notre père, sur un coup de tête, lâcha tout pour retourner à son pays d'origine : l'Italie. soit disant que là-bas il avait des contacts pour trouver un meilleur boulot en tant que mécano. Alors toute la famille a imigré pour la maison familiale avec les grands parents tyranniques.
Mais ce ne fut pas un gros problème pendant longtemps car à peine une année après notre arrivée, ma grand-mère fut emporté par la grippe et un an plus tard, mon grand père mouru dans son lit. C'est à partir de ce moment que mon père parti vraiment en vrille. Il n'était déjà pas super équilibré à la base, n'étant quasi jamais à la maison, faisant la tournée des bars et des putes certainements au lieu de chercher un travail. Ma mère faisait toujours des ménages et elle m'avait délégué la surveillance des plus petits. J'avais alors sept ans. Et un an plus tard, ma mère mouru. De maladie ou de mal-être ? Difficile à dire. Toujours est-il que j'en voulais profondément à mon père. encore plus qu'avant. Car au fond de moi je savais que ma mère n'aurai pas dû avoir à s'épuiser ainsi à la tache. Que si mon père avait été plus présent, elle aurait vécu plus longtemps.
S'ensuivit une période plutôt sombre et triste où chacun des frères et soeurs traça son bonhomme de chemin. Je faisais tout pour eux. Dès mes seize ans, en âge de travailler, je prenais un boulot de mécano où j'allais après mes études. C'était là que mon père aurait dû travailler mais trop ivre, il s'était fait virer après deux jours. Le patron, un ancien copain d'enfance à mon père m'avait prit parce qu'il savait ce que nosu traversions. En fait il était celui qui se rapprochait le plus d'un père pour moi et mon frère et ma soeur. En effet, j'avais réussi à obtenir de lui que les petits viennent au garage après l'école. Hors de question de les laisser seuls avec mon père. Nous avions donc trouver une sorte d'équilibre jusqu'à mes dix-neufs ans. J'avais obtenu un Bac S mais continuais à bosser au garage, n'ayant pas le temps ni l'argent de me lancer dans des études. Et puis je devais veiller à ce que Lucas et Océane ait toujours ce qu'il leur fallait. Ce qui ne m'empêchait pas de sortir, de rencontrer des personnes, de coucher à droite à gauche sans pour autant tomber amoureux et de faire ma vie.
Vie qui faillit s'arrêter quelques jours après mon anniversaire lorsque Kate, une fille avec qui j'avais une relation un peu plus suivie se pointa au garage pour m'annoncer qu'elle était enceinte et que j'étais le père. Si elle était venue à la maison où il n'y aurait eu personne, je pense sincèrement que je l'aurai tué. Combien de fois lui avais-je demandé si elle prenait bien la pillule pour ne pas qu'elle tombe enceinte ? Je ne voulais pas être un père absent conter le mien et je savais pertinement que je ne pourrais pas assumer un enfant pour l'instant. Bien sûr que je voulais des enfants mais pas maintenant. Si Dario ne m'avait pas retenu, j'aurai certainement fracassé sa tête contre le pare choc de la voiture sur laquelle je travaillais. Heureusement il me retint. Et il fit beaucoup mieux, il proposa de m'aider avec le bébé. Pourtant je refusais tout net de faire partie de la vie de cet enfant et après avoir assuré Kate que je lui enverrai de l'argent, je décidais de partir. Mon père devenait de plus en plus violent et j'avais peur qu'il n'aille un jour jusqu'à violer ma soeur. Je la fis donc faire ses valises et repartais pour la France. Avec pour objectifs de trouver un travail et de recommencer une vie. Ma soeur qui faisait des études de stylisme trouva rapidement un stage sur Bordeau et aussitôt dit, aussitôt fait, nous partions pour cette ville dont on ne savait rien si ce n'est qu'elle pouvait être un havre acceuillant. Dario nous donna de l'argent. Beaucoup trop que ce que je pouvais accepter mais il insista. Et heureusement qu'il le fit car notre Père cuvait toujours son vin lorsque nous partâmes. Lucas lui, était partit un an plus tôt à Rome pour suivre des études de comptabilité. Je ne m'inquiètais pas pour lui, il avait une bourse et arrivait à se débrouiller seul.
Nous démarâmes donc une nouvelle vie en France. Je m'engageais dans l'armée et après un an, j'étais promu Caporal. Promotion rapide mais méritée selon mes supérieurs. Parce que d'après eux, j'étais très respectueux et courageux. Volontaire et puissant. Tant mieux s'ils croyaient cela. Pour ma part, je n'étais pas heureux. Océane avait accoucher d'une petite fille peu de temps après notre arrivée, ne sachant pas vraiment qui était le père ni même qu'elle était enceinte (on appelle ça un déni de grossesse d'après les médecins) et la petite Abigail me faisait penser à mon fils. Qu'était-il devenu ? J'envoyais toujours de l'argent à Kate mais je ne prenais jamais de ses nouvelles.
Un jour pourtant, j'envoya une lettre avec l'argent. Lui donnant mes coordonnées pour qu'elle puisse m'appeler si elle le voulait et pour savoir comment allait mon fils Eliott. S'il avait grandi, qu'est-ce qu'il devenait, s'il avait déjà apprit à marcher, s'il commençait un peu à gazouiller ... Bref, je voulais des nouvelles de mon fils. Et je fus horrifié lorsque je reçu un coup de fil cinq jours plus tard. C'était la mère de Kate à l'autre bout du fil. elle me disait qu'elle ne savait pas quoi faire et qu'elle avait besoin d'aide. Que sa fille ne s'occupait pas de notre fils, que Kate passait sa journée dehors, à faire elle ne savait quoi, lui laissant le petit qui avait terriblement besoin d'un père. J'ai toujours mit du temps à me décider mais là ce fut direct. J'appelais mes supérieurs pour poser un congé sans solde et partais de suite pour l'Italie. Pour aller chercher moin fils. Je pensais que ce serait simple mais Kate s'y opposa et me traîna en justice. Belle image que deux parents aussi coupables l'un que l'autre se déchirant pour avoir la garde de leur fils. Bilan des courses ? Ce fut moi qui gagnait la garde de mon fils et le ramenait avec moi en France. Néanmoins, je ne voulais pas que Kate sorte de sa vie. Je ne voulais pas qu'Eliott, après avoir eu un père absent, eu une mère absente. Nous faisions donc de nombreux voyages jusqu'à Trévise pour voir sa mère.
Bien sûr j'aurai préféré ne jamais plus la revoir mais cela aurait été égoïste. Aussi, je ne fus pas trop dur à convaincre pour faire une croisière tous les trois pendant l'été pour passer des vacances en famille. Je savais que depuis près d'un an, Kate, revenue dans le droit chemin et désormais secrétaire médicale, voulait se remettre avec moi mais j'avais toujours refusé et je refuserai toujours. Néanmoins cette croisière faisait tellement plaisr et envie à Eliott que je ne pu que dire Oui. Nous embarquions donc sur le Mary Queen II. Je ne m'amusais pas vraiment, devant fuir Kate tout en surveillant mon petit monstre. Mais c'était la vie. J'aurai bien volontier séduit une fille de la croisière pour dégoûter mon ex mais Eliott ne m'en laissa pas le temps. après seulement deux jours de bâteau, il fut malade comme un chien. Diagnostique rapide : il avait le mal de mer et vraiment pas le pied marin. Tous les cachets n'yy firent rien et il devint clair qu'il fallait arrêter sa croisière. Kate se proposa de rentrer chez nous avec lui pour que je puisse ainsi me reposer. J'étais pas très à l'aise à l'idée de laisser Eliott seul avec sa mère mais j'étais bien obligé d'avouer que j'étais fatigué et qu'un peu de repos loin de tout cela me ferait du bien. Je revenais de quatre mosi d'Afghanistan avec mes troupes et j'étais claqué. Dans un moment de faiblesse donc, j'acceptais. Mon ex descendit aussitôt à la première escale pour regagner la France. Quant à moi, un jour après leur départ, je débarquais avec tant d'autre sur une petite île déserte. La suite ? Vous la connaissez tous ...
Physique : Je suis du style grand nounours musclé. Plutôt imposant du haut de mon mètre quatre vingt quatorze, large d'épaule et avec des cuisses musclées par les nombreux prés ou rings arpentés. On m'a déjà dit que j'avais un beau visage. délicat même. avec mes cheveux mi-long, mes yeux gris bleus et ma mâchoire carrée et volontaire. Moi je ne sais pas vraiment dire si je suis beau ou pas. A vrai dire, je n'aime pas en parler. ca me met mal à l'aise. Comment faire pour donner la bonne réponse ? Je suis comme je suis, point. Pas comme Eliott qui lui est magnifique. Ou comme Kate était belle. Eux je le sais. Pour moi c'est différent. Ce que je sais par contre, c'est qu'on dit souvent que je fais un peu plus jeune que 25 ans. Sauf lorsque je m'énerve. Là, je sais vraiment faire peur. Mes soldats l'ont expérimentés une fois et un collègue Caporal m'a dit par la suite que je les avait terrifié. Je peux donc être un nounours en colère. Du type grizzly quoi. Sur l'île, vous me croiserez souvent avec un jogging asis gris et le tee-shirt blanc (bon un peu moins blanc maintenant) que je portais lorsqu'ils nous on déposés sur l'île.
De l'autre côté.______________________________
Puf ~ dii
Âge ~ 20
Comment as-tu connu le forum ~ top site
Qu'en penses-tu ~ Super méga giga joli et j'adore le concept
Un dernier mot pour la fin ~