feat; Le plus sex

NOM : Ferguson.
PRÉNOM : Carter Simba Seth.
SURNOMS : Simba.
ORIENTATION SEXUELLE : N'aime que les femmes. Canons de préférence
ÂGE : 27 ans.
DATE DE NAISSANCE : 30/05
NATIONALITÉ : Américaine.
PAYS D'ORIGINE : Nouvelle-Zélande.
ÉTUDE : Diplômé en Droit & Criminologie.
SIGNES PARTICULIERS : Tatoué, à travailler dans la police.
PEURS/PHOBIES : Décevoir.

I am What I am.


Dévoué.


Têtu.


Solitaire.


Doux.


Plutôt marrant.


Attentionné.

❝ Il y a des chansons qui nous donnent envie de danser. D’autres qui nous donnent envie de chanter à tue-tête. Mais les meilleurs chansons sont celles qui nous ramènent à l’instant précis où on les a entendus pour la première fois, et qui à nouveau vous brisent le cœur. ❞

Je suis né, j’ai vécu, j’suis mort. Nan, j’déconne. J’suis en vie, j’ai 27 ans, et j’suis heureux. Enfin, heureux, tout est relatif…
J’ai vécu une enfance heureuse, toute mon enfance et mon adolescente était bien, parfaite même. Mes parents étaient supers, j’avais assez d’argent, pas trop, mais jamais en manque de quoi que ce soit. Ma mère aimait me crier dessus parce que je ne rangeais pas mes chaussettes, et mon père se croyait marrant en me racontant les pires blagues au monde, mais je les aimais pour ça. Parce que c’était mes parents. Puis du jour au lendemain, ça a viré au cauchemar. Ils sont partis, pour un voyage sans retour. Mais ça, je n’aime pas en parler, donc, je n’en parlerai pas. Point à la ligne. J’ai surmonté ça sans rien laissé paraître. En cours, personne ou presque ne savait, et j’ai réussi à passer outre ce malheur en enchainant les nanas. Super n’est-ce pas ? Mais avec mon physique, je pouvais- peux- me le permettre. Sans me vanter évidement ! J’suis pas mal, je le sais, j’en joue. Puis elle est arrivée. Judith qu’elle s’appelait. Splendide, parfaite, souriante, drôle, chiante à en crever. Je l’aimais à en crever. Et vous savez quoi ? J’ai flippé sa mère ! Je l’aimais trop, j’l’aimais beaucoup trop, j’étais trop jeune, j’étais mort de peur. Et si je la perdais ? Et si je déconnais ? Si je la décevais ? Et si elle me quittait pour un autre ? Parce que je n’étais pas assez bien ? Parce qu’elle avait peur que je déconne, et ne la trompe ? Et si, et si, et si… ? Les ‘si’ on prit le dessus, et ma tête me tournait, la peur me nouait l’estomac. Et j’ai reçu à ce moment-là une lettre, pour l’université de mes rêves, Yale. J’ai fuis, comme un con, comme un lâche. Je l’ai quitté sans rien dire, et j’me suis tiré pour aller étudier à Yale. J’ai troqué l’amour de ma vie pour les études ! Bon sang que j’étais con. Bon sang que j’étais stupide ! J’en reviens pas. Et pire, je m’en veux. Yale donc, section droit, et crimino. J’étais doué, très doué, tellement que j’ai fini majeur de ma promo et tout le tralala. –Et là, vous vous dites toutes ‘Waow, canon, intelligent, et célibataire, je prends ! - Avec mon diplôme, et surtout mon CV de fifou, j’ai vite trouvé un job, en tant qu’avocat, mais j’ai bien vite remarqué que ce n’était pas mon truc les costards pingouins, et les mallettes en cuir noir. J’ai donc démissionné, et j’ai tenté ma chance autre part, dans l’autre domaine que j’avais choisi, criminologie. J’ai été embauché comme policier, et bien vite, j’ai gravi les échelons, jusqu’à être promu shérif. J’avais une arme, un badge, et le respect, et l’admiration de tous. Classe hein ? Je sais J’aidais tout le monde, je me sentais utile, c’était bien, j’étais mieux. J’ai jamais oublié Judith, j’ai même essayé de la retrouver. Mais à chaque fois je me suis dégonflé. J’l’appelais, et je raccrochais. Poule mouillée moi ? Surement. Mais j’assume. Ce que je n’assume pas, c’est de m’être tiré, alors que je savais que ce n’était pas la chose à faire. J’aurais pu revenir, mais il était trop tard, elle m’aurait largué, repoussé, ect. N’est-ce pas ? Et j’aurais pas eu la force ou le courage de me relever si elle elle m’avait rejeté. Elle était tellement différente des autres. Je l’aimais. Après cette femme si parfaite j’ai eu pleins de relations sans aucune importance, et je me détachais bien trop vite, enfaite, je ne m’attachais plus. Peur d’être brisé. Peur de décevoir, ou d’être déçu. A chaque fois je l’étais. Puis, j’suis parti, pour une petite semaine sous le soleil. Le Queen Mary II, ça sonnait bien. Putain, si j’avais su qui j’allais trouvé sur cette plage !