Sujet: Luis Ezeckiel Diaz •• Pris Sam 27 Oct - 20:49
Carte d'identité de Luis Ezeckiel Diaz.
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En surface. _____________________________
Nom •• Diaz -reste négociable- Prénom(s) •• Luis Ezeckiel, mais les prénoms sont négociables Âge •• 21 ans. Pays d'origine •• Amérique. Avatar utilisé •• Dylan hOt'Brien
Histoire •• Orphelin, depuis sa naissance, il est passé de foyers en foyers, créant toujours des ennuis dans les maisons qui l’accueillait. Une fois majeur, dès qu'il a su partir du foyer, il a accueilli la jeune Nirvana chez lui . Il se drogue depuis ses 15 ans, mais essaye d'arrêter, ou d'au moins diminuer.
Physique •• Cf avatar.
Liens ••
Nirvana-Plùm •• Ex-Amour encore présent. Il a entrainé la blonde dans le monde de la drogue, ce qu'il ne voulait pas faire, il voulait l'éloigner de ça, et la protéger, mais il n'a pas réussi, c'est pourquoi, il a fini par la quitter, et non parce qu'elle était un boulet, comme elle le pense pour lui. Il l'aime encore, et elle aussi. Leur amour était destructeur pour l'un comme pour l'autre.
Citation de la fiche de Nirvana, histoire de mieux comprendre:
« Cet homme qui te connait depuis toujours, depuis que t’es à l’orphelinat, c’est lui qui dès qu’il a eu 18 ans, il t’a pris sous sa garde, il t’a payé à manger, il t’a protégé de tout. C’est lui qui a été là quand tu pleurais, quand tu fumais trop, c’est lui qui a toujours été là. Le seul. T’es tombée amoureuse de lui très vite, trop vite. Tu es devenue dépendante de lui, presque plus fort que tu ne dépends de ta drogue. Sauf que lui, il ne dépendait pas de toi, il avait juste de l’attachement, et un amour étrangement fort pour toi, pauvre petite blondinette orpheline depuis toujours ou presque. (...) Votre amour était destructif, autant pour toi que pour lui. Il vous consumait. Comme la jalousie, la possessivité, et vos disputes. Vous ne faisiez que vous engueulez, vous hurlez dessus, mais pourtant, vous vous aimiez plus que tout. A 15 ans, t’as eu une première overdose. Mais t’as survécu, sans dommage collatéral. T’as continué, non, avoir frôler la mort ne t’as pas effrayé, ça a eu l’effet inverse. T’as voulu continué, t’as voulu à nouveau la défier. T’en as eu d’autres, et t’as toujours survécu, mais seulement parce qu’il était là, parce qu’il veillait sur toi. Et tout à changer en ce mardi midi, c’était un 16 décembre, et il neigeait, il faisait très froid. •• Flashback. Sa voix se répand dans le salon. « Nirvana, mon cœur, t’es où ? » Sa voix n’est pas douce, elle est sèche, emplie d’amertume. Ces derniers temps, tu n’es rien d’autre qu’un boulet pour lui. Tu le sais, il le sait. « Putain, tu vas répondre ou quoi ? ! » Des larmes s’amassent dans tes yeux gris, et tu lui réponds d’une petite voix, en sortant de votre chambre. « Oui, j’suis là. » Il te jauge du regard, et il se radoucit un peu, très légèrement. Peu de monde aurait pu voir ce changement infime, mais toi, tu le vois, tu le connais trop bien pour ne pas remarquer la lueur de chagrin qui brille dans ses yeux. « Je suis désolé mais ça ne peut plus durer. » Tu hoches la tête, tu le sais, tu te doutes de ça depuis longtemps. Et tu le regardes sans aller, sans réagir, après qu’il ait posé ses lèvres rendues sèches par le froid contre les tiennes pour un dernier baiser. •• »