Sujet: « Sold my Soul to Heaven and to Hell. » Ven 8 Juin - 20:18
❝ Sunshine-Heaven Lily Niell ❞
« A Birth of Broken Dreams »
➳ Carte d'identité
NOM Niell. PRÉNOM(S) Sunshine-Heaven, Lily. SURNOM Sun, Sunny, Heav' ÂGE 19 ans & toutes ses dents. PAYS D'ORIGINE USA. NATIONALITÉ Américaine, Cubaine. PHOBIE/PEUR La mort, l'oubli. MANIE/HABITUDE Chipoter à sa bague (un cadeau de sa meilleure amie). ORIENTATION SEXUELLE Hétérosexuelle. AVATAR UTILISÉ Adriana Lima.
➳ Personnalité
CARACTÈRE Forte Courageuse Charmeuse Joviale Sociable Optimiste Gentille Manipulatrice Adorable Fragile Blessée Protectrice Douce Facile à vivre Intelligente Sensée Adulte Responsable Marrante Confiante Secrète Déterminée Brisée Triste Battante Délicate Folle Lunatique
➳ Ta vie d'avant
HISTOIRE « C’est pas comme si on voulait de toi de toutes façons ! Puis qui voudrait de toi?! Personne, tu m'entends?! Personne! » Cette phrase a ponctué mon enfance, et mon adolescence. Comme vous vous en doutez, je n’étais pas une enfant voulue. Loin de là. Ma mère est tombée enceinte à 17 ans, et elle a du tout quitté pour m’élever. Je me dis parfois que si elle ne me voulait pas à ce point, pourquoi ne pas avoir avorté ou chercher une famille pour moi… Enfin, passons. Son copain, mon père, l’a d’abord quitté, puis il est revenu avant ma naissance. Ils se sont mariés, et ont loués un appart’ minable dans un coin pourri, et ont tourné le dos à leur parents. Malgré notre différence d’âge minime, ma mère et moi, on ne s’entend absolument pas. Elle boit, mon père se drogue -et me frappe-. Chouette famille. Je me souviendrai toujours de la première fois où je l’ai retrouvé inconsciente. C’était un matin, et elle devait me conduire à l’école, j’avais alors 7 ans. J’avais été la cherché dans la chambre, et elle était couchée, comme morte sur le lit. J’avais essayé de la réveiller, pendant longtemps, et les larmes avaient fini par couler, au final, j’étais parvenue à la faire se lever, et je m’étais fait engueuler parce que j’étais en larmes. Depuis mes 10 ans, je me fais mettre à la porte régulièrement, pour n’importes quelles raisons. Plusieurs amis m’hébergent, mais très peu connaissent les raisons exactes de mon départ momentané de la maison. Il vint un âge ou je préférais aller dormir dans la rue que de rentrer chez moi, et de retrouver mes parents bourrés ou stone. Et ces matins-là, où je rentrais après une nuit dehors, je me faisais traiter de trainée par ma mère. Charmant, n’est-ce pas. Elle était persuadée que je finirais comme elle, enceinte à 17 ans, parce que d’après elle, je passais la nuit chez des inconnus. Mon père pensait pareil, mais était tellement défoncé qu’il ne parlait presque pas. J’essayais au possible de les ignorer. C’est ce que j’ai fait toute ma jeunesse. Je rentrais chez moi pour prendre des affaires, et je repartais soit en cours, ou chez des amis. Puis, l’âge de l’adolescence, des sorties, et des premiers copains arrivât. Au début, sortir, je n’aimais pas. Avec l’alcool tout ça, ça me faisait trop penser à l’ambiance lugubre de chez moi. Mais mon opinion s’est assez vite changée. Non pas que je sois devenue comme ma mère ou mon père, mais boire un petit verre de temps en temps, c’était pas mal. Ça aidait à faire passer la journée. J’ai fini par sortir tout les soirs, surtout pour trouver un endroit ou passer la nuit. Et assez souvent, je trouvais des personnes qui voulaient bien m’héberger. Quand je n’étais pas chez moi, j’étais de nature joviale, drôle, et optimiste. Et je jouais aussi beaucoup sur mes charmes. Ce qui m’aidait naturellement à obtenir de l’aide ou ce que je désirais. En cours, personne ne connaissait mon histoire, sauf ma meilleure amie, Léa. On s’était rencontrée dans la cour de récréation alors qu’on avait 8 ans. Une fille était méchante avec moi, et elle m’avait protégé et pris ma défense, depuis on est comme les deux doigts de la main. Elle essayait de m’aider le plus possible, ce qui n’était pas des plus simples avec ma vie. Elle m’aidait surtout à garder ma moyenne, et à ne rien laisser paraitre de ce qu’il se passait chez moi. Elle m’hébergeait souvent, mais ça me gênait d’être tout le temps chez elle. Ses parents étaient géniaux, et ils étaient toujours adorables avec moi. Un soir, quand j’avais 12 ans, ils m’ont retrouvé seule, trempée jusqu’aux os à cause de la pluie qui ne cessait de tomber. J’étais assise devant leur porte. Je venais de passer la journée avec Léa, et leur maison m’avait paru tel un refuge après la dispute que je venais d’avoir avec mes parents. Ils ont essayé de m’aider le plus possible, m’invitant à manger, dormir,… et ce tout le temps. Cette famille était celle que je voulais avoir. Je leur faisais confiance, et je les aimais plus que mes parents. Mais ce que je ne savais pas, c’était que ma meilleure amie était atteinte d’un cancer très grave. On l’avait découvert alors qu’elle avait 12 ans, mais ils ont préféré le taire, sous les demandes de leur fille. Ils me l’avaient tous caché. Je ne l’ai su qu’après plus de 7 ans d’amitié. Quand en voulant lui rendre visite ses voisins m’ont dit qu’elle était à l’hôpital. J’y ai foncé, et je suis restée chaque jour avec elle, m’endormant à ses cotés, et la rassurant. Oui je lui pardonnais de me l’avoir caché, et tout irait bien, pour elle comme pour moi. Elle est décédée un mois après. Laissant dans mon cœur une plaie à jamais ouverte. Malgré la mort de Léa, ses parents étaient toujours aux petits soins avec moi, même si j’essayai de les éviter et d’éviter la maison où j’avais, au fond, passer toute mon enfance. Je n’étais plus moi-même depuis la mort de Léa, et je ne voulais pas qu’ils me voient ainsi. Mes notes se dégradaient, je séchais les cours, je sortais, je ne rentrais plus chez moi. Contre toutes attentes, c’est un de mes professeurs qui m’a aidé. Il était nouveau, jeune –à peine quelques années de plus que moi-, enthousiaste. Il m’a soutenu, m’a donné des cours particuliers, m’a aidé à surmonter la mort de ma meilleure amie… Il était là quand j’avais eu besoin de quelqu’un et quand j’étais faible. Et bien vite, je suis tombée amoureuse. Lui, était attiré par l’image forte que je donnais de moi, alors qu’au fond, j’étais brisée. Il m’a redonné le sourire. On s’est aimé longtemps. Puis notre relation s’est sue, il a été viré. J’ai pleuré, je me suis sentie fautive, et lui s’en voulait de me faire subir ça. Finalement, on a rompu. Et la plaie qui s’était légèrement refermée s’est ouverte, plus grande encore. J’ai essayé seule de remonter la pente, j’ai fini mon secondaire, et je me suis inscrite à l’université. J’ai réussi à me payer mes études en enchainant les petits boulots. J’ai fait un an à l’université. En médecine. Et ce, pour Léa. Pour trouver un remède pour aider les gens qui souffrent de la même chose qu’elle. Et pour la rendre fière de moi. C’était ce qui comptait le plus pour moi, la rendre fière de moi. J’étais tellement heureuse d’avoir réussi ma première année que je me suis payée une croisière. J’hésitais entre deux. Manque de bol, à pile ou face, c’était face. Le Queen Mary II.
➳ Sous le masque
PRÉNOM Miss O. Oa pour les intimes PSEUDO (PUF) Gazelle alias Escape (Ouai, j'ai un nouveau PUF ) ÂGE 4521 ans. Je sais, je me fais vieille (a) COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM En le croisant un jour, on a fait connaissance, et je l'ai tout de suite aimé . CE QUE TU EN PENSES Qu'il est parfait. Un coin de Paradis. UNE DERNIÈRE CHOSE ? Je vous aimes les lapinous Et puis, j'ai pas pu m'en empêcher, quand je suis en examen, j'aime écrire (encore plus que d'hab'), et j'ai écris son histoire, et je me suis dit, j'dois la jouer (a).