Carte d'identité de Louis C. Callaghan.
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En surface.
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Nom ~ Callaghan. Prénom(s) ~ Louis Cérès. Âge ~ 21 ans. Pays d'origine ~ France. Avatar utilisé ~ LOUIS TOMLINSON <3

En profondeur.
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Caractère ~ Louis pourrait être l'allégorie de l'optimisme, le paroxysme de la bonne humeur.
Il estime que la vie se doit d'être vécue à 200%, sans jamais avoir une seule seconde d'hésitation. Il est comme ça, Louis. Boute-en-train, drôle, légèrement insouciant. On ne refait pas le monde en un jour, hein ? Bien sûr que non. J'ajouterais qu'il est sociable. Une personne inconnue ? Il sera peut-être un peu silencieux au départ, mais aucune compagnie ne le dérange, et il se décontracte rapidement, à l'aise avec n'importe quel caractère, du mec le plus froid à la gamine la plus hyperactive. Ouais, vraiment, tout le monde lui convient.
Il a toujours ce sourire taquin et blagueur collé sur ses lèvres, sa marque de fabrique, en quelques sortes. Sachez que s'il ne sourit pas de toute la journée, il se passe quelque chose dans sa petite tête. Il ne cache pas spécialement ses émotions ; ou, en tout cas, il ne cherche pas à le faire. Il ne se force pas à être heureux, c'est naturel chez lui.
Louis a de l'humour à en revendre. Il trouve dans le rire des gens une mélodie harmonieuse qui a le don de lui mettre le baume au cœur, il aime les voir rigoler, oublier un instant leurs problèmes. Par cette phrase, on comprend alors qu'il est généreux, et ça, pour l'être, il l'est. Il s'en fout de donner sans recevoir. Ce qu'il veut, c'est donner. Juste donner. Donner un peu de son bonheur aux âmes tristes et maussades, donner un peu d'espoir à ceux qui n'en ont plus, donner un peu d'optimisme à ceux qui voient le verre à moitié vide alors que, selon Louis, le verre sera toujours à moitié plein.
Pourtant, il est extrêmement jaloux et possessif. Il prête ses affaires sans problèmes, mais accorde une grande importance à ce qu'elles lui reviennent en parfait état. Avec ses amis, c'est une autre histoire. Même s'il ne supporte pas la simple idée qu'une personne à laquelle il tient énormément aille batifoler autre part, il ne l'avouera jamais vraiment, à moins de lui tirer longtemps les vers du nez, et là, vous pouvez toujours vous accrocher.
Vous pouvez toujours vous accrocher parce qu'il est têtu comme une mule. S'il a une idée en tête, il sera convaincu que c'est la bonne jusqu'à ce que vous réussissiez à lui prouver le contraire. Cela explique d'ailleurs son impulsivité : il agit d'abord et réfléchis ensuite. Bon, ce n'est pas toujours vrai : dans certains cas, il arrive à peser rapidement le pour et le contre avant d'accomplir ce qu'il avait en tête.
En somme, Louis est un garçon qu'on ne peut avoir qu'en ami de par son caractère, à moins d'être vraiment le pire associable au monde.
Défauts ~ Impulsif, possessif, jaloux.
Qualités ~ Joyeux, sociable, optimiste.
Phobies/Peurs ~ Qu'on le rejette.
Manie(s) ~ Secouer ses cheveux et passer une main dans sa mèche pour la remettre en place.

Histoire ~ Louis n'a pas eu une enfance très heureuse. Certes, il y a des cas bien pires que le sien, où les enfants se font frapper, violer, et finissent parfois même par mourir misérablement sous les coups d'un père alcoolique ou fou qui sera tôt ou tard conduit au poste de police et finira ses jours à l'ombre.
Lui n'a jamais connu ça, il n'a jamais connu la souffrance et la douleur physique – son père levait rarement la main sur lui. Il n'a jamais vu ses parents dans une colère noire parce qu'ils avaient un peu trop forcés sur l'alcool, il n'a jamais vu sa mère coucher avec des hommes différents chaque soir.
Mais il entendait et supportait leurs critiques acerbes et violentes tous les jours sans exception. A les entendre, il n'était qu'un vrai con qui ne réussirait jamais sa vie.
Il ne répondait pas, ou rarement. Il encaissait simplement ; c'était bien là tout ce qu'il pouvait faire. Attendre que ça passe, en ne faisant même plus attention aux blâmes de ses parents.
Puis il commençait à sortir, au début, ce n'était rien : des balades rapides, faire le tour du quartier, histoire de voir et d'entendre autres choses.
Et ça a pris de l'ampleur : il ne rentrait plus pour dîner, il préférait aller manger au macdo ou se faire une pizza, parfois seul, parfois accompagné, mais plus il était loin du domicile familial, mieux c'était pour lui.
Et c'était à chaque fois la chute de son piédestal quand il devait rentrer, les cris, les engueulades, alors il s'enhardissait, il goûtait beaucoup trop au bonheur de la liberté, et l'idée de retourner chez lui le dégoûtait. Sur le chemin du retour, c'était des dizaines et des dizaines de plans qui s'entrechoquaient, des souhaits parfois macabres. Quelque chose, n'importe quoi, pour qu'il ne rentre pas chez lui. Qu'il ne puisse plus rentrer chez lui. C'était tout ce qu'il voulait.
Au lycée, pourtant, il faisait bonne figure. Il était bon élève, apprécié de tous, professeurs comme élèves : quinze de moyenne -c'était plutôt bien-, un petit groupe de potes dont il était très proche. Il était connu pour être le petit clown, celui qui mettait l'ambiance dans la classe, le mec qui a toujours le mot pour rire et un éternel sourire fiché sur ses lèvres.

Alors, quand sa moyenne a commencé à chuter, que les mots dans son carnet s'empilaient et se suivaient pour travail non fait, les professeurs ont commencé à se poser des questions. Mais ils n'osaient pas lui en parler clairement, des allusions discrètes, des conseils trop vite oubliés. Jusqu'à ce qu'un prof prenne son courage à deux mains.
Il lui avait demandé de rester à la sonnerie, et Louis s'était exécuté sans poser de questions, sagement. L'adulte avait d'ailleurs été surpris du changement soudain : le brun avait fait le pitre pendant toute l'heure, enchaînant remarques drôles sur conneries débiles, mais une fois que tout le monde était parti, il était soudainement devenu calme, presque timide.
Louis lui avait tout dit, ne baissant pas les yeux une seule fois, comme s'il racontait quelque chose de totalement banal, son dernier week-end, sa soirée, ou quelque chose du genre. Il n'avait rien caché : de toutes façons, à quoi bon ? S'ils voulaient tous tellement savoir, au moins, ils le laisseraient peut-être en paix.
C'est ce qu'ils ont fait. Ils n'ont pas cherché à l'aider : Louis leur avaient distinctement expliqué qu'il n'avait pas besoin d'aide, de nulle personne. On lui avait dit qu'un être humain ne pouvait pas supporter ça éternellement, et il avait simplement répondu : « Il faut croire que si. Que voulez-vous que je fasse d'autre ? »
Suite à cela, les mois avaient défilés, et la situation du mécheux restait la même, outre le fait qu'il rentrait de moins en moins souvent, dormaient chez des amis et les rares fois où il trouvait la motivation de rentrer, c'était encore pire que toutes les fois précédentes. Il ne restait jamais plus d'une heure chaque jour chez lui, où il serait devenu fou.
Les vacances d'été arrivaient, au grand dam du garçon qui ne savait pas quoi faire pour éviter ses parents au maximum.
Une après-midi où il traînait dehors -encore et toujours-, il s'était arrêté devant une agence de voyages, son regard avait été irrésistiblement attiré par une proposition de croisière à bord du Queen Mary 2. Ca fera toujours une semaine loin d'eux, avait-il alors pensé en achetant son billet un peu trop impulsivement.
Cela fera bien plus qu'une semaine.

Physique ~ Il est beau garçon, et ça, personne ne peut le nier.
D'une description générale, il est plutôt grand : un mètre soixante-treize, pour une carrure normale à musclée. Ca dépend des saisons et de ce qu'il fait. Il y a des périodes où il se laisse un peu aller, mais ce n'est pas bien grave quand on s'appelle Louis Cérès Callaghan et qu'on a une gueule à tomber par terre.
En s'attardant sur les détails, on découvre de jolis yeux gris fer, éternellement allumés d'une lueur malicieuse, un grand sourire qui ferait tomber n'importe quelle fille -voir même n'importe quel garçon- aux dents blanches et bien alignées, une légère barbe naissante qu'il prend soin de raser tous les trois jours, des cheveux bruns en bataille – coiffure qui lui va à ravir, d'ailleurs.
Au niveau vestimentaire, on peut noter que c'est un adepte des marinières. Il n'a presque que ça dans sa garde robe, ainsi que des bretelles qu'il porte à merveille. Tout va à monsieur gueule d'ange, en réalité.

De l'autre côté.
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Puf ~ balsam (aquarell)
Âge ~ 1001 ans, et en pleine forme : D
Comment as-tu connu le forum ~ Jsais plus.
Qu'en penses-tu ~ ...
Un dernier mot pour la fin ~ PROMIS JE RESTEEE. & Je finis demain. <3