First of the year.

Valentino marchait lentement, entouré d'une multitude de coquelicots. Le soleil semblait dominer ce paysage coloré, ce dernier offrant sa luminosité éclatante à tout individu souhaitant tracer chemin ici. Valentino était de ceux-ci, balançant ses mains dans le vide qui au passage effleuraient les fleurs sanguines. Il songeait à son propre choix de vie : Il avait embarqué sur ce bateau nommé Queen Mary II pour y trouver la paix et reconstruire sa vie dans les règles, et voilà qu'il s'était retrouvé sur une île déserte où il pensait être seul au monde et terminer ses jours ici. Il se sentait seul, désepérement seul au beau milieu de nul part, isolée de toute vie humaine. Le parfum envoutant des coquelicots harmonisait l'atmosphère, la rendant plus agréable aux yeux de tous. Soupirant, le jeune homme s'assit au milieu de ces fleurs, camouflé. Ebloui par le soleil, une main vint se poser sur son front.

Il fait beau. Le soleil brille. Les oiseaux chantent. Les coquelicots diffusent leur parfum.
C'était justement cette odeur le problème pour Artémis. C'était la même odeur que sa mère. C'était un parfum qu'elle lui avait offert pour la fête des mères, elle se souviendrait de ce jour toute sa vie. Un des seuls jours ou sa mère n'avait pas été saoule...
La belle brune était donc assise sur le sol regardant les fleurs rouges bouger avec le vent. Elle essayait de ne pas repenser au passé mais ce n'était pas une tâche facile.

Chassant ces pensées négatives de son esprit, il sortit un paquet de Philip Morris et en sortit une. Il soupirait longuement. Cette drogue était un des seuls palliers de sa vie. Il porta cette dernière à sa bouche, et l'alluma.

Une odeur de fumée vint lui chatouiller les narines. Elle se leva donc et chercha des yeux l'endroit d'où la fumée arrivait.

Il se leva de sa cachette, tirant une latte de sa cigarette. Le soleil l'aveuglait toujours autant, ce qu'il détestait. Il fit quelques pas tête basse, évitant le soleil qui lui irritait l'iris.

A cause de la lumière du soleil , Artémis était obligée de marcher à reculons. C'est pour cela qu'elle ne remarqua pas le jeune homme qui arrivait par derrière. Elle rentra aors en colision dans celui ci. « Aïe ! »

Ce contact inattendu le réjouit lorsqu'il se rendit compte qu'il sagissait d'une demoiselle. Il posa sa main sur l'épaule de la jeune femme.
« Excuse-moi. »

Elle dévisagea celui qui lui était rentré dedans. Il prenait ses aises en posant une main sur son épaule. Elle s'en dégagée avant de lancer : « Non mais ça va pas là ?! »

Valentino rit. Il aimait ce genre de femme, un peu capricieuses à son goût, un peu sauvages. Wild and free...
« Oh ça va, je ne vous ai pas violé. »

Artémis fit la moue. Elle attrapa la cigarette du junte homme et l'écrasant avec son pied par terre elle répondit : « Non c'est vrai mais j'ai surtou été surprise. »

Il sourit face au geste de la jeune femme, le prenant comme une provocation inutile. « Moi c'est Valentino, et toi ? »

Etonnée qu'il ne réagisse pas aux vues de son geste, elle sourit. « Moi c'est Artémis. » Elle avait tellement vu sa mère se tuer un peu plus à chaque cigarette qu'elle avait fini par en être dégoûtée.

Il lui sourit freedent, avant de faire un pas vers elle.
« Tu faisais quoi en marchant à reculons sinon ? »

« J'évitais le soleil. Et to tu faisais quoi les yeux fermés? »Artémis se doutait de la réponse de Valentino mais elle n'en fit rien.

Il la regardait de ses yeux brillants.
« J'avais pas les yeux fermés éè »

« Qu'est ce que tu foutais alors pour me rentrer dedans ?! » En attendant un réponse, elle le dévisagea. Un beau brun mais tatoué de partout, et ça elle n'aimait pas trop non plus...

Il la déviseaga de même, remarquant qu'elle s'attardait sur ses tatouages. « Je marchais tête basse. »

Elle haussa les sourcils, après tout ça revenait au même... « Soit. »

Valentino plongea son regard dans celui de la jeune femme.
« Bon, tu as quelque chose contre moi ou c'est de la mauvaise humeur chronique ? »

Artémis Elloah a écrit:: « Ni l'un ni l'autre, c'est juste que ça va pas fort aujourd'hui. »

Valentino lui sourit. « Je suis prêt à t'écouter. »

Bon finalement, magré son look un petit peu extravagant, il n'avait pas l'air d'avoir un si mauvais fond. « Oh, c'est la fatigue, le stress, la faim... les choses basiques quand on est sur une île déserte en fait. »

Valentino avait horreur des préjugés concernant les tatouages. « Ah, je vois.. »

« Je suppose que toi aussi tu as des baisses de moral de temps en temps, non ? »

« Je suis à peine arrivé, laisse moi le temps »

» « Just last the year. » ☼ Caprice

First of the year.

First of the year.

Sujets similaires

Sujets similaires