- Fallait pas te laisser faire. Ça peut aussi être sauvage un chaton, tu sais ? Le provoqua une énième fois le brun.

- Elle est à moitié folle, a une gamine, chauffe les innocents chatons et est encore désespérément amoureuse d'un mec qui l'a trompé, même si elle l'avouera jamais. Claqua t-il, ironique.

(meuf, t'as le droit à mon 100ème message 8D)

L'air surpris de l'autre n'étonna pas le grec qui se contenta de hausser les épaules en se passant vaguement une main dans les cheveux. - T'en fais pas pour elle, en un an et demi qu'elle est là, elle a du en croiser pas mal des salauds dans mon genre. Et tout ça avec un sourire insolent. Connard de Socrate.

(tu peux, tu peux 8D)

Socrate lui jeta un regard en coin, ses orbes azures pétillant de malice. - ça, c'est parce que j'ai peur que le chaton me griffe.

Se redressant à moitié sur ses coudes, Socrate se retient de justesse de sauter sur le brun. Il lui aurait bien fait ravaler son petit sourire innocent à sa façon, tiens. - Ah ouais ? J'ai dû mal à te croire pourtant.

Cédant finalement à ses pulsions - et à la tentation des paroles de Syd, il attrapa les épaules du brun, le retourna sur le dos et se glissa agilement au dessus de lui. Là, il lui souffla, provocateur. - Ah ouais, pacifiste et innocent ?

Toujours en appui sur ses avants-bras, le grec finit par s’asseoir sur le bassin du brun sous lui. Il croisa les bras sur son torse et répliqua, l'air boudeur. - Tss, même pas drôle.

Le brun laissa la main de l'autre remonter sa cuisse sans broncher et il courba ses lèvres d'un sourire insolent tandis qu'il répliquait. - Dommage, j'avais envie de m'amuser un peu.

Socrate posa un doigt en haut du torse du jeune homme et le fit courir tout du long. - Fais pas comme si ça t'avais pas la moindre petite idée de comment t'amuser.

Son sourire insolent toujours collé aux lèvres, Socrate prit appui sur ses bras avant de se pencher en avant et de glisser un - Non, à toi d'être imaginatif .., malicieux à l'oreille.

- Fais pas ta prude, chaton. J'suis sûr qu'au fond t'es pas si innocent qu'il n'en paraît. Et il se redressa, reprenant sa position assise sur le bassin de l'autre. Ses orbes cobalt caressant, sans aucune discrétion, les courbes du corps qui s'offraient à lui.

Socrate réprima le frisson qui remontait le long de sa colonne vertébrale et son sourire en coin s'accentua. Provocateur, il reprit appui sur ses bras pour glisser ses lèvres contre le cou de Syd. Là, il suçota sa peau sans aucune gène et se redressa plusieurs secondes plus tard, contemplant son œuvre, une lueur narquoise brillant au fond de ses iris céruléennes.